Mangeoire des champs, mangeoire des villes.


Lors d'un récent séjour dans le Vermont (le bien nommé) où vit une partie de ma famille, au détour d'une balade dans les bois, j'étais restée en arrêt devant ces jolies mangeoires à oiseaux. Fixées à un arbre vertigineux, non loin d'un plan d'eau, attendant le retour des beaux jours et des randonneurs. Pensant par devers moi que j'aimerais bien en plagier le modèle.


En ce jour de printemps estival, à l'heure où le soleil se fait taquin et chatouille la peau, que vois-je, au coeur de ce quartier à la réputation plus sulfureuse que bucolique et dont je sillonne malgré tout, chaque jour, les rues ? Suspendus à de souffreteux magnolias ? Des mangeoires-nichoirs.



La vue de ces dernières m'a tellement mise en joie que, si ce n'était la crainte du ridicule, j'en aurais volontiers gambadé comme un cabri devant cette fabuleuse découverte. Qu'il est bon d'insuffler plus de nature dans le béton, d'inclure plus de petits poumons de verdure ... 

Si les matous du quartier sont futés, ils auront tôt fait de venir traîner leurs griffes dans le coin.

Verdict, êtes-vous plutôt pour la mangeoire des champs ou la mangeoire des villes ?

#birdfeed
#nichoirmangeoire





Commentaires

  1. Les deux quand elles sont agréables à regarder, comme celles-là. Mais, le plus important, est que les oiseaux aient le gîte et le couvert, par vrai? Excellente semaine et merci d'être passée.

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